23 VII 66 --
Mme Aupick donne soixante pilules à Baudelaire, qui doit en prendre une par jour (Auzas 226). Toujours rue Duphot, Mme Aupick annonce à Poulet-Malassis un mieux sensible dans la santé de Baudelaire. Mais elle doit subir chez lui de terribles colères, souvent au sujet des Epaves, dont il voudrait parler mais que sa maladie l'empêche de discuter. Après l'un de ses emportements, le Dr Duval la conseille de suspendre ses visites à son fils, ce qu'elle ne fait que partiellement. A la prochaine, Baudelaire est plus affectueux pour elle. Elle est contente de savoir qu'elle pourra partir pour Honfleur sachant que Baudelaire est en bonnes mains, recevant des visites d'amis et logé près du domicile d'Ancelle (Ruff-Richer 64).
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Auzas:
Auzas, August. "Lettres de Mme Vve Aupick à Charles Asselineau" Mercure de France. 1912. 226 (list all entries citing Auzas).
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Ruff-Richer:
Richer, Jean. Les Derniers mois de Charles Baudelaire et la publication posthume de ses Oeuvres: correspondances, documents. A.-G. Nizet. Paris. 1976. 19 pages. (list all entries citing Ruff-Richer).
[id: 894; Date first digitized: 1999-08-16 Last Updated: 2020-10-13 11:43:44; xml source: 10895_1866-07-23.xml]