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Dans le Nouvel Illustré, Monselet annonce qu'on a l'intention de ramener Baudelaire à Paris (T ). Poulet-Malassis avertit Asselineau que les médecins jugent les circonstances favorables pour emmener Baudelaire. Poulet-Malassis n'ira que jusqu'à la frontière belge, de peur d'effrayer Mme Aupick en allant jusqu'à Neuilly. Poulet-Malassis serait content de voir Asselineau accompagner Ancelle à leur rencontre. Il préconise une réunion entre Ancelle, Asselineau et lui pour parler de l'édition des oeuvres de Baudelaire. Le paiement des dettes de Baudelaire a mis leur finances en difficulté, et Poulet-Malassis voit la nécessité d'un compartiment, lequel coûterait cher. Il prie Asselineau d'aller demander une subvention auprès de la Société des Gens de Lettres. Son président honoraire, Francis Wey, est susceptible de les aider. Stevens s'occupe d'avoir une diminution des frais jusqu'à la frontière belge. Ce jour Mme Aupick et Baudelaire attendaient Stevens pour dîner mais le mauvais temps les a forcé de le décommander (Ruff-Richer 47, 51).
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T:
Texte vu
(list all entries citing T).
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Ruff-Richer:
Richer, Jean. Les Derniers mois de Charles Baudelaire et la publication posthume de ses Oeuvres: correspondances, documents. A.-G. Nizet. Paris. 1976. 19 pages. (list all entries citing Ruff-Richer).
[id: 861; Date first digitized: 1999-08-16 Last Updated: 2020-10-13 11:43:44; xml source: 10862_1866-06-02.xml]