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15 III 59 --- Danse macabre paraît dans la Revue contemporaine (FM42 232). Edouard Houssaye autorise Delâtre, imprimeur de la rue Saint-Jacques, à donner à Baudelaire un exemplaire des oeuvres de Méryon (Crépet O 16). Duranty mentionne Baudelaire, sans l'attaquer, dans le Courrier de Paris {2}. [details]
IV 59 --- Duranty écrit "La Caractéristique des oeuvres de M. Champfleury", essai qui porte en épigraphe une phrase de Baudelaire, y critiqué cependant pour ses tendances peu naturalistes (Parturier et Privat 1-13). Cette étude sera publiée par Poulet-Malassis en 1861 (Maynial 63). Au dire d'Antonin Proust, Baudelaire et Manet se trouvent chez lui au moment où ils apprennent que le tableau: Le Buveur d'absinthe est refusé par le jury du Salon. Manet attribue cet échec à l'opposition de Couture, son ancien maître. Delacroix, pourtant, a approuvé ce tableau (Proust ). [details]
XI 59 --- Parution des Amis de la nature de Champfleury, qui porte en tête l'essai d'Edmond Duranty ayant pour épigraphe une phrase de Baudelaire: "Je ne sais pas de sentiment plus embarrassant que l'admiration" (Parturier et Privat 3). Dans la préface, Duranty fait un portrait de Baudelaire, mais ne le nomme pas (Crépet V 59). [details]
1 V 60 --- Baudelaire renvoie trois feuilles (deux notes et la couverture) des Paradis artificiels à Poulet-Malassis. Dorvault, le pharmacien, tient à relire la forme finale de la note pharmaceutique avec lui. Baudelaire donne à Poulet-Malassis le bon à tirer pour la onzième feuille (CPl II 36). Duranty signe pour Baudelaire un billet de 1600 francs (Parturier et Privat 6). [details]
11 X 60 --- Baudelaire écrit à Mme Aupick qu'il attribue toutes ses difficultés financières au conseil judiciaire, car ses dettes se multiplient sans qu'il puisse les liquider, par le fait du cumul des intérêts. S'il ne se suicide pas, c'est à cause de Mme Aupick et de Jeanne, qu'il ne veut pas laisser seules. S'il meurt avant sa mère, il tient à faire donner une rente à Jeanne. Baudelaire a parlé avec le frère de Jeanne à ce sujet: il espère que cet homme lui viendrait en aide, si besoin était. Baudelaire a envoyé les Paradis artificiels à "l'excellent" abbé Cardinne, confesseur de Mme Aupick. Buloz lui offre d'entrer comme collaborateur à la Revue des deux mondes, dans l'hypothèse où Baudelaire quitterait de Calonne. Baudelaire doit, depuis plusieurs années, la somme de 15.000 francs à Arondel, son créancier depuis l'époque où il vivait à l'hôtel Pimodan; il doit sans cesse emprunter pour payer cette dette, ainsi que d'autres (CPl II 96). Duranty demande que Baudelaire le reçoive le lendemain; il voudrait avoir sur lui des renseignements biographiques. Ecrivant sur cette même lettre, Baudelaire répond qu'il ne pourra pas le faire avant le 16 du mois {2,3}. [details]
début XI 60 --- Poulet-Malassis reçoit de Duranty des textes pour la France nouvelle. Ce projet littéraire de biographie et de critique devra être établi sous la direction de Champfleury et édité par Poulet-Malassis. Poulet-Malassis exprime à Champfleury son opinion à propos de ces textes: bien que la partie biographique soit bien faite et en général acceptable, la partie critique lui semble entachée d'un réalisme littéraire trop agressif pour plaire au public (Parturier et Privat 9). [details]
13 XI 60 --- Champfleury explique à Duranty pourquoi Poulet-Malassis et lui ont abandonné le projet de la France nouvelle. Il rend à Duranty le manuscrit de sa notice biographique sur Baudelaire, lui conseillant de le laisser pendant six mois ou un an (Parturier et Privat 11). [details]
env 13 XI 60 --- Malgré les conseils de Champfleury, Duranty adresse à Poulet-Malassis une réclamation à propos de sa notice sur Baudelaire, qui ne sera pas imprimée par cet éditeur. Poulet-Malassis lui répond que ce texte est inimprimable. Il refuse, en outre, de renouveler le second billet à ordre de Duranty, comme celui-ci le lui demande. Poulet-Malassis a peur de compromettre son crédit renaissant; il pense que les largesses dont il a fait preuve tout au long de l'année ont failli le faire sombrer (Parturier et Privat 11) [details]
15 V 61 --- Dans la Revue fantaisiste, Charles Revert loue l'article sur Wagner. Dans le même numéro paraît Madrigal triste (T ). Duranty fait imprimer une affiche où il annonce le concours de Baudelaire, ainsi que d'autres, pour son théâtre de marionnettes. Cette affiche ne sera pas utilisée (Parturier 116). [details]
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