found 7 items where where the reference source is Goncourt. Showing page 1 of 1. |
search: |
X 57 --- Baudelaire soupe à côté des frères Goncourt au Café Riche. Ils le décrivent en "toilette de guillotiné" qui se défend contre l'idée qu'il aurait outragé la morale publique par ses vers (Goncourt II 165). [details]
12 II 62 --- Ayant reçu de Jules De Saux une lettre bienveillante, mais qui lui interdit toute nouvelle demande de fonds, Baudelaire écrit à De Saux pour dire qu'il ne travaille pour aucun journal depuis quatre mois, d'où son besoin d'argent. Il voudrait donc que De Saux accueillît favorablement sa demande de subvention auprès du gouvernement (CPl II 231). Les Goncourt critiquent les gens qui préfèrent Baudelaire et Delacroix à des maîtres "plus sains" (Goncourt V:52). [details]
IV 62 --- Les Goncourt nomment Baudelaire "le saint Vincent de Paul des croûtes trouvées..." (Goncourt V:104). [details]
19 XI 62 --- Dans leur Journal, les Goncourt mentionnent dédaigneusement Baudelaire (Goncourt V:202). [details]
11 IV 63 --- Baudelaire attire l'attention des frères Goncourt, pour avoir employé un mot bizarre: gamahucher (Goncourt VI:54). [details]
28 XI 63 --- Parution du deuxième feuilleton du "Peintre de de la vie moderne", de Baudelaire, dans Figaro (T ). La Petite Revue donne un extrait de l'article nécrologique sur Delacroix (CPl II 346, 840). Gavarni remercie Baudelaire de l'envoi d'un exemplaire d'Eureka (T ). Dans le Nain jaune, A. Scholl se moque du Figaro, qui, en publiant des poèmes en prose de Baudelaire, revient sur les positions qu'il avait précédemment défendues (Goncourt VI:157). Les Goncourt décrivent Baudelaire travaillant dans sa chambre d'hôtel "près d'un chemin de fer", porte ouverte sur le corridor, de façon à être aperçu par les passants. Il a les cheveux longs et blancs {5}. [details]
1 VI 65 --- Parution de la deuxième partie de l'article d'Arthur Arnould sur Edgar Allan Poe, dans la Revue moderne (T ). Les Goncourt se félicitent d'un mot qu'ils ont trouvé sur Baudelaire: ils le décrivent comme un "Béranger à Charenton" (Goncourt VI:89). [details]
|
|