Charles Baudelaire

Une Micro-Histoire by Raymond P. Poggenburg


début VI 60 --- Poulet-Malassis donne à Duranty un bon pour un exemplaire des Paradis artificiels (Crouzet 112). [details]

après le 21 VII 60 --- Poulet-Malassis communique à Duranty l'opinion favorable de Baudelaire sur son roman: Le Malheur d'Henriette Gérard (Crouzet 113). Charles Reade, romancier anglais, demande à sa traductrice, Marie-Adèle Roch, de lui trouver un éditeur français pour la traduction de son roman (It's Never Too Late to Mend). Mme Roch s'adresse à son frère, le peintre Jean-Marc Baud, pour qu'il s'informe auprès de Baudelaire des conditions de publications des traductions. La réponse de ce dernier lui fera abandonner ce projet (CPl II 68). [details]

30 VIII 60 --- Edouard Poulet-Malassis, frère cadet d'Auguste, entre comme partenaire dans la Société Poulet-Malassis et De Broise (Crouzet 140n). [details]

19 V 61 --- Dans Diogène, Jules Claretie fait une allusion satirique au Diable qui lit les Fleurs du mal ed. de 1861 (T ). Dans Figaro, Lemercier de Neuville donne une recette satirique d'un "Salmis de cadavres à la Baudelaire" (T ). Dans le Charivari, Albert Wolff suggère, en badinant, un tableau pour le Salon de 1863 avec notamment Baudelaire en aide-de-camp de Wagner (T ). Baudelaire assiste à l'inauguration du Théâtre des marionnettes de Duranty aux Tuileries, à l'invitation de celui-ci (Crouzet 144). [details]

22 XII 66 --- La Bibliographie de la France enregistre la parution de l'Almanach parisien pour 1867, dans lequel est publié Madrigal triste. Le poème porte la dédicace: A L.L... (T ). Fernand Desnoyers y fait paraître une étude: "Ceux qui seront les peintres," dont le titre contient une allusion au Salon de 1845 (Crouzet 235). [details]