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fin V 60 --- Mise en vente des Paradis artificiels (CatBN57 5). Baudelaire en envoie un exemplaire à une dame, dédié à sa "chère Aline;" et un autre à Asselineau: "A Mon ami Ch. Asselineau" (CatBN57 92). Il offre à Mme Desgranges ce volume (Cat2430 ). Ernest Feydeau reçoit un exemplaire qu'il annote et qu'il rend à Baudelaire (Georges Lang ). A Leconte de Lisle il envoie un exemplaire dédié: "A mon ami Leconte de Lisle" (Manuscrit73 74). Celui de Désiré Nisard porte la dédicace: "Hommage à M. D. Nisard" (Cat111 ). Jules Janin reçoit le sien sur hollande, comme prévu (CatBN57 92). Baudelaire envoie à Alfred Guichardet un exemplaire des Paradis artificiels. Guichardet, rencontrant Baudelaire, l'en remercie et observe qu'Alfred de Musset s'est déjà occupé de cet ouvrage de De Quincey il y a au moins trente ans (Pichois A ). [details]
II 61 --- Baudelaire écrit à Crépet pour lui dire de garder les 90 francs convenus, sans doute pour payer un écrit [la notice critique sur V. Hugo?]. Les Fleurs du mal ed. de 1861 ont occupé le temps de Baudelaire à un point tel qu'il n'a pas pu veiller à son affaire avec Crépet (CPl II 130). Des exemplaires des Fleurs du mal ed. de 1861 sont envoyés à : Leconte de Lisle, "A Leconte de Lisle, vieille amitié" (CatBN57 70); à Joséphin Soulary, "Témoignage d'admiration et d'amitié" (Cat77-33 ); "A Edmond Texier", avec les textes inédits indiqués dans la table des matières (Cat24 ); à Marie Daubrun (Times19610331 ), avec envoi: "A Marie Daubrun / Témoignage de vieille affection / C.Baudelaire (P-Z 387). A De Broise, Baudelaire envoie une note explicative du portrait à remettre à l'Artiste (CPl II 128). L'exemplaire de Mme Aupick est annoté par Baudelaire pour indiquer que les poèmes nouveaux sont "faits pour le cadre". L'abbé Cardinne brûlera son exemplaire, malgré le fait que Baudelaire y décèle une inspiration "catholique" (CPl II 140). Baudelaire écrit à Crépet, disant qu'il a été malade tous les matins et occupé tous les après-midi. Cela l'a empêché de finir un travail pour Crépet. Il lui demande de ne pas disposer des 90 francs en faveur d'un autre; il a toujours besoin de la totalité de la somme. Baudelaire déclare son intention d'aller voir Crépet le lendemain ou le lundi (CPl II 130). [details]
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