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5 VII 54 --- Ulric-Hilaire F[allet] reconnaît comme sa fille naturelle Fernande-Ernesta-Jeanne, fille illégitime de Bébé Sabatier et Fernand Boissard (Ziegler Carré 90n) [details]
5 VII 54 --- Ulric-Hilaire F... [peut-être Fallet] (Billy D 252) reconnaît comme sa fille naturelle Fernande-Ernesta-Jeanne, fille illégitime de "Bébé" Sabatier et Fernand Boissard {1}. [details]
automne 57? --- Maxime Du Camp reçoit la visite de Baudelaire, qu'il invite à l'accompagner à dîner le lendemain chez Mme Sabatier. Puis, il écrit à celle-ci pour l'avertir de sa démarche, espérant qu'il n'a pas fait une sottise (Billy D 189). [details]
1861? --- De Baden-Baden, Maxime Du Camp écrit à Mme Sabatier pour décrire sa cure. A la fin de sa lettre il salue les familiers de leur groupe: Gautier; "Vaufrilard" [Flaubert]; Reyer; Bouilhet; Ernesta Grisi; Mosselman; Baudelaire (Billy D 189) [details]
1861? --- De Baden-Baden, Maxime Du Camp décrit pour Mme Sabatier sa cure. Il envoie ses salutations aux familiers de leur groupe: Mosselman; Gautier; "Vaufrilard" [Flaubert]; Reyer, Bouilhet; Ernesta Grisi; Baudelaire (Billy D 189). [details]
1861? --- Baudelaire envoie à Poulet-Malassis la recette d'un médicament contre les rhumes. Il est composé de lichen d'Islande et de sucre blanc. Baudelaire mentionne l'opinion de Paul Duplessis sur ce traitement, sans autre précision (CPl II 215). De Baden-Baden, Maxime Du Camp décrit pour Mme Sabatier sa cure. Il envoie ses salutations aux familiers de leur groupe: Mosselman; Gautier; "Vaufrilard [Flaubert]; Reyer, Bouilhet; Ernesta Grisi; Baudelaire (Billy D 189). [details]
1 XII 61 --- Le Boulevard porte l'annonce des Martyrs ridicules "Avec ime [reface de Charles Baudelaire" parus chez Poulet-Malassis (T) Le premier numéro de la Chronique des arts et de la curiosité annonce la vente des objets d'art de Mme Sabatier (Billy D 215) [details]
1 XII 61 --- Leconte de Lisle publie un article bienveillant sur Baudelaire dans la Revue européenne (BJ 54). Le dessinateur Carjat fonde le Boulevard. Le numéro spécimen de ce journal reproduit la caricature de Durandeau: Les Nuits de Monsieur Baudelaire. Baudelaire est nommé parmi les collaborateurs de ce journal. Dans ce numéro, Théodore de Banville rédige un article pour corriger l'image de Baudelaire suggérée par la caricature de Durandeau. Comme preuve il cite un passage de l'Invitation au voyage (T ). numéro de la Chronique des arts et de la curiosité annonce la vente des objets d'art de Mme Sabatier (Billy D 215). [details]
début XII 61 --- Dans le Bulletin de l'amateur, Eugene Piot, en remarquant la vente de Mme Sabatier, souligne la prépondérance des objets venant du XVIIIe siècle. Une annonce paraît également dans le Moniteur des arts. La somme réalisée par cette vente est de 43.000 francs (Billy D 216-217). Le Louvre acquiert le buste de Mme Sabatier, au prix de 3350 francs (DICO 140). [details]
2 VII 64 --- La Vie parisienne publie Les Yeux des pauvres de Baudelaire, sans signature d'auteur (Kopp 307). Par l'intermédiaire de Glatigny, la Semaine de Cusset et de Vichy publie Les Vocations (Ziegler E 90n). Mariage, à la mairie du 16e arrondissement, de "Bébé" [Irma-Adelina] Sabatier et Ulric-Hilaire Fallet. Par acte de leur mariage, ils ont reconnu et légitimé Fernande-Ernesta-Jeanne, fille naturelle de Bébé et Fernand Boissier {3,4}. Mallarmé publie, dans la Semaine de Vichy et de Cusset, L'Orgue de barbarie Plainte d'automne] et La Tête [Pauvre enfant pâle]. Le titre d'ensemble en est Poèmes en prose et la dédicace en est à Baudelaire {5}. [details]
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