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15 VII 59 --- Banville, dans sa critique théâtrale des Filles de marbre, cite Baudelaire sur "La froide majesté de la femme stérile" (Badesco B 591n). [details]
9 X 59 --- Ecrivant dans la Causerie, Glatigny décrit Baudelaire qui rit de "ces gens sans fiel," des "Voltairiens de l'Ecole Normale". C'est à propos de la querelle dite de "La Brasserie" (Badesco B 549). [details]
fin 59 --- Barbey d'Aurevilly demande à Baudelaire de l'inviter à dîner. Il voudrait examiner les oeuvres de Constantin Guys que possède Baudelaire (LAB 58). Première rencontre de Baudelaire avec Villiers de l'Isle-Adam, à la Causerie de Victor Cochinat. Ils vont peut-être à la Brasserie des Martyrs, où Villiers, selon ses propres dires, boit trop. De retour à Saint-Brieuc, il écrit à Baudelaire une lettre admirative et reconnaissante pour l'amitié que son aîné lui voue (Badesco B I:639-640). [details]
1er semestre de 1861 --- La Revue anecdotique, parlant des Vignes folles d'Albert Glatigny, place leur auteur dans le groupe d'écrivains dont les chefs sont Baudelaire et [Ceslaw] Karski (Badesco B 60, 559). [details]
1er semestre de 1861 --- La Revue anecdotique, parlant des Vignes folles d'Albert Glatigny, place leur auteur dans le groupe d'écrivains dont les chefs sont Baudelaire et [Ceslaw] Karski (Badesco B 559). [details]
12 XI 63 --- Baudelaire écrit à Gustave Bourdin, du Figaro, pour lui demander d'envoyer la majeure partie des épreuves de son étude sur Guys; il voudrait les relire à son aise. Baudelaire prie Bourdin d'annoncer cette étude dans le journal, en guise de réclame, dans le numéro précédant la publication. Baudelaire tient à ce qu'on garde le secret de l'identité de Guys, comme le veut cet artiste lui-même. Baudelaire est toujours en train d'établir le texte des Histoires grotesques et serieuses et, sans doute, de corriger les épreuves d'Eureka (CPl II 330, 831). Raymond Matigny, écrivant à Arondel, prétend être en relations avec un ami [peut-être Pellerin] lié depuis le collège avec Baudelaire. Il informe Arondel que cet "ami" s'engage à forcer Baudelaire de payer ce qu'il doit "par une pression immanquable" (CPl II 840). Paul de Cassagnac, dans Diogène, appelle Baudelaire "l'égoutier du Parnasse" (Badesco B cité 569). [details]
12 XI 63 --- Paul de Cassagnac, dans Diogène appelle Baudelaire "L'égoutier du Parnasse" (Badesco B 569) [details]
17 IV 64 --- Dans le Hanneton, Pasquin décrit un Mont-de-Piété littéraire satirique. L'on y prêterait "un exemplaire des Fleurs du Mal où ne seraient chantées que les délices de la viande fraîche et de l'amour platonique" (T ). Les Ecoles de France condamne l'anonyme "délateur" qui attaque Hugo à propos du Banquet Shakespeare (Badesco B I:100). La Gazette des courses publie un article favorable à Victor Hugo (Badesco B I:105). [details]
17 IV 64 --- Dans les Ecoles de France, le "Directeur-Gérant" s'élève contre la lettre de Baudelaire au Figaro au sujet de l'anniversaire de Shakespeare (Badesco B 101). [details]
17 IV 64 --- Les Ecoles de France donne, signés Charles Longuet, deux articles protestant contre la lettre de Baudelaire au Figaro Hugo (Badesco B 101) [details]
19 IV 64 --- La Gazette des courses publie un article favorable à Victor Hugo (Badesco B I:105). [details]
21 IV 64 --- Répondant à Arthur Stevens, Baudelaire le remercie de sa bonne lettre, explique son silence envers De Mot et prie Stevens d'aller voir ce monsieur pour conclure avec lui les conditions financières de ses lectures à Bruxelles; Baudelaire acceptera cet accord négocié par l'entremise de Stevens (CPl II 355). Mme Victor Hugo, de passage à Paris, informe par lettre son mari que Baudelaire n'a pu supporter l'idée du fauteuil vide symbolique au Banquet Shakespeare; ce fauteuil devait symboliser l'absence d'Hugo et l'honneur qu'on lui faisait (Badesco B I:99). Baudelaire rédige son article sur la vente de la collection d'Eugène Piot. Il admire le sérieux et la sincérité de ce collectionneur, obligé de vendre ses trésors pour des raisons de santé. Baudelaire est surtout impressionné par les bronzes de cette collection et remarque spécialement le masque de Michel-Ange, "où est si profondément exprimée la tristesse de ce glorieux génie" (OCPl II 771). [details]
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