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28 II 1789 --- Date présumée de la naissance de Jacques Aupick, fils de Jacques-Joseph Aupick et d'Amélie Talbot, à Gravelines (Nord) (Nouvion 159). [details]
10 VII 08 --- A 10h du matin, on établit l'acte de notoriété de Jacques Aupick devant Louis Vansteene [?], premier suppléant du juge de paix du canton de Gravelines, arrondissement de Dunkerque, département du Nord. Ont comparu les rentiers Nicolas Decarpentery, Jean-Baptiste Peillaert, Charles Blondel, Jacques Buirette; l'instituteur public Pierre-Joseph Galisset; le notaire impérial Adrien Sneck; le marchand Jacques Doucker. Ils sont convoqués à la demande de Pierre Jean-Baptiste Louis Baudart, juge de paix du canton de Gravelines. Les témoins déclarent parfaitement connaître Jacques Aupick depuis 1790, époque où le régiment de Berwick-Irlandais était en garnison à Gravelines. L'enfant fut considéré et traité par ses parents comme leur enfant légitime, selon ces témoins. Aucune recherche n'a pu découvrir un acte de naissance pour ce jeune homme, qu'ils estiment être âgé de dix-huit ans et demie environ {1,2}. [details]
18 IV 09 --- Le sous-lieutenant Aupick part de Saint-Cyr pour rejoindre le 1e 105e régiment de ligne en Allemagne. Il fait la campagne d'Autriche (Nouvion 160). [details]
16 VI 15 --- Aupick est blessé à Fleurus (Girard 268). [details]
1816 --- Un inspecteur général prend note du beau physique d'Aupick, mais observe qu'il ne connaît ni ses principes ni sa moralité (Girard 269). [details]
1817 --- J.-F. Baudelaire s'installe au l3, rue Hautefeuille (Barroux 222). [details]
1819 --- Aupick demande congé pour rendre visite à son beau-père. M. Baudard, malade à Gravelines. Aupick, orphelin, a été élevé par Baudard (Girard 267). [details]
9 IX 19 --- A la mairie du 11e Arrondissement, 10, rue Garancière, mariage civile de J.-F. Baudelaire et Caroline Archenbaut-Defayis, sous le régime de la communauté. François étant prêtre défroqué, il ne peut pas convoler une deuxième fois. La mariée apporte un trousseau évalué un millier de francs (Nouvion 149) La cérémonie au domicile de la mariée, chez les Pérignon, au 6, rue Saint-Hyacinthe-Saint-Honoré, dans le 2e Arrondissement (Barroux 222). Le nouveau ménage s'installe au 13, rue Hautefeuille, en appartement (Nouvion 150). [details]
1821 --- Aupick demande congé pour rendre visite à M. Baudard à Gravelines (Girard 267). Cette même année, Baudard meurt en léguant la plupart de ses biens à Aupick. Le légataire refuse d'en prendre une si grande part, et insiste pour que la fille de Baudard en reçoive la moitié (Pichois F 262). [details]
13 II 27 --- Premier Conseil de Tutelle de Baudelaire. Les membres en sont: Paul Pérignon; Etienne Paul Duval; Claude Ramey; Jean Naigeon; Jean-Baptiste Julliot (subrogé tuteur); Charles Raynard Laure Félix, duc de Choiseul-Praslin. L'absence de Claude-Alphonse Baudelaire est à signaler (Barroux 222). [details]
17 X 28 --- Aupick, chef de bataillon, chevalier de Saint-Louis et officier de la Légion d'honneur, adresse à ses supérieurs militaires une demande d'autorisation de mariage avec Mme Vve Baudelaire; on écrit le nom: Bodelaire {1,2}. [details]
31 X 28 --- Deuxième Conseil de Tutelle de Baudelaire. Les membres en sont: C.-A. Baudelaire; Pierre Paul Pérignon; Claude Ramey, tous du côté maternel; Jean Naigeon; Jean-Baptiste Julliot; Charles Raynard Laure Félix, duc de Choiseul-Praslin. Ce conseil nomme Aupick tuteur de Baudelaire, aux côtés de Mme Vve Baudelaire. On prend acte également du mariage prochain des derniers nommés (Barroux 225). [details]
24 III 29 --- Le prince de Hohenlohe écrit un nouveau rapport sur Aupick où, parmi ses autres qualités, est évoquée celle d'être bon époux. Il y est noté qu'il dispose de 5000 francs de rente {1,2}. [details]
31 V 29 --- Mort du prince de Hohenlohe, maréchal de France (Girard 272). [details]
23 III 30 --- Aupick est nommé à l'état-major de la deuxième division de l'expédition d'Afrique (Girard 273). [details]
1 VII 31 --- Aupick est remis en disponibilité et revient habiter à Paris avec sa famille (Girard 273). [details]
1833 --- Aupick fait un bref séjour à Compiègne comme chef d'état-major (Girard 275). [details]
17 VII 33 --- Aupick écrit à un général de ses correspondants qu'il vient de recevoir l'ordre de se rendre aux manoeuvres de Compiègne, en qualité de chef d'Etat-Major, disant que c'est le prince Royal qui l'a désigné. Il fait mention d'un "peu de chagrin au logis" mais dit qu'on s'y console puisqu'il n'est plus question d'aller à Alger (Cat Charavay ). [details]
IV 34 --- Pendant l'insurrection de Lyon, Aupick fait montre d'une "activité remarquable" (Girard 274). [details]
1835 --- Henri Hignard, condisciple de Baudelaire au Collège royal, fera le portrait du poète comme il apparaissait en cette année, l'appelant un « charmant adolescent ». Il le dira exceptionnellement fin et distingué, passionné de Lamartine et d'Hugo et compositeur de vers (Hignard 418-424). [details]
12 V 39 --- Baudelaire fait partie de la liste des externes du Collège Saint-Louis, envoyée au ministre (Pellow 123). Le soir, Aupick aide à réprimer l'insurrection organisée par Blanqui et Barbès à Paris (Girard 275). Mme Tirlet court chez les Aupick, pour avertir Charles et sa mère de cette insurrection. Aupick dort cette nuit au Carrousel (CPl I 69). [details]
17 V 39 --- Le général Pajol propose la promotion d'Aupick au grade de maréchal de camp (aujourd'hui général de brigade), pour son attitude durant l'insurrection quatre jours plus tôt (Girard 274). [details]
I 41 --- Aupick refuse le commandement de l'Ecole de Saint-Cyr (Girard 279). Le Musée des familles réimprime l'article de Gautier sur les Contes d'Hoffmann; cet écrit a déjà paru le 14 VIII 36 (Hamrick 30-31). [details]
28 V 42 --- Auguste Dozon se rend chez Baudelaire, où il commence la composition d'un poème adressé à un ami, intitulé Le Livre. Ces vers engagent Baudelaire à ne pas négliger la lecture d'un volume, Les Saisons, d'Auguste Brizeux. On trouve dans ce poème une description de femme dont les caractéristiques semblent bien être celles de Jeanne Duval (LAB 137-139). Lettre perdue de Baudelaire à sa mère (CPl I 94). Lui est installé au 10, quai de Béthune, au rez-de-chaussée [numéro actuel: 22] (Prarond 24). [details]
21 VIII 44 --- Aupick est nommé chef d'état-major général du corps d'opérations de la Moselle (Girard 280). Il y commence son service (P-Z 165). [details]
seconde quinzaine de V 45 --- Mise en vente du Salon de 1845 (Tabarant B 89). Baudelaire reçoit une ou deux lettres injurieuses venant d'artistes critiqués (CE 467). Au dos de la couverture du livre sont annoncés ses futurs ouvrages: (sous presse) De La Peinture moderne; (pour paraître prochainement) De La Caricature parallèlement à David, Guérin et Girodet (T ). [details]
24 II 48 --- Toubin rencontre Baudelaire et Barthet, le matin, au carrefour de Buci. Ils sont armés de fusils de chasse et sont prêts à se battre derrière une barricade qui ne les couvre que jusqu'à la ceinture. Selon Jules Buisson, qui les y retrouve le même soir, Baudelaire s'est servi d'un fusil volé chez un armurier (BDC 100-101). Toubin prétend qu'à cette date l'argent trimestriel de Baudelaire était épuisé (Bandy et Mouquet 11). Pendant que son beau-fils prend part à l'insurrection, Aupick s'efforce de contenir ses élèves à l'Ecole Polytechnique. Ils n'obéissent pas à ses ordres et sortent pour se battre dans les rues (Girard 282). Selon le témoignage de Fargue, élève de première année, Aupick, dans l'amphithéâtre de l'Ecole polytechnique, prend la parole devant tous les élèves. Il les exhorte à la patience et au calme et leur recommande à continuer à lui faire confiance. Les élèves désirent sortir de l'Ecole. Ils voudraient se joindre à la Garde nationale pour se placer entre les combattants mais Aupick ne veut pas leur permettre cette liberté, tout en approuvant leur intention de faire ainsi la paix. Soudain l'Ecole se voit attaquer par des hommes du peuple qui essayent d'en enfoncer les portes. Ces hommes demandent qu'on leur livre les élèves. Pour trancher cette question l'Ecole passe au vote, les élèves choisissant la sortie. Pendant la journée une compagnie de la troupe est assaillée devant l'Ecole par une troupe d'hommes du peuple: un ou deux hommes sont tués. Aupick fait entrer les soldats dans l'Ecole. A ce moment un homme du peuple le couche en joue, et il n'est sauvé que par l'intervention des camarades du tireur et par des élèves qui l'identifient comme commandant de l'institution. Aupick, qui n'accepte pas de rendre les soldats au peuple, ordonne à ses élèves de prendre les fusils des militaires et de les escorter comme prisonniers à leur caserne. Cela fait, le groupe sort par une porte de derrière, et rentre accompagné par les cries d'approbation du peuple (P-Z 254). Charles de Freycinet, élève de seconde année, décrit l'action d'un groupe auquel il appartient. On veut s'interposer entre gouvernement et peuple. Ils consultent leur commandant. Aupick, au lieu de le leur défendre, reconnaît l'inutilité d'un refus. Il leur donne la permission de sortir sur leur parole d'honneur de ne faire que ce qu'ils proposen (P-Z 255). Au cours de ces événements Aupick envoie au duc de Nemours deux messages, l'une pour décrire l'état d'effervescence des élèves, l'autre pour dire qu'il n'est plus maître de l'Ecole (P-Z 256). [details]
5 II 49 --- Delacroix mentionne Baudelaire dans son Journal. Il qualifie les idées du poète de "modernes" (AR 444), et dit que Baudelaire lui a appris que Daumier a de la peine à finir ses dessins (CE 506). [details]
10 XII 49 --- La Presse annonce la publication prochaine de la Veillée pittoresque, où devrait figurer un écrit de Baudelaire: Les Derniers Buveurs (Starkie 58 209). [details]
3 VI 50 --- La Presse annonce la parution d'un article de Baudelaire dans le Magasin des familles, intitulé "L'Influence des images sur les esprits". Cet article n'a pas paru (Starkie 58 109). [details]
4 VI 50 --- La Presse annonce que La Semaine donnera prochainement La Fanfario [sic] de Baudelaire (Starkie 58 210). La Semaine annonce que ses abonnés recevront gratuitement tous les mois des textes littéraires tirés des Veillées littéraires illustrées, où figure La Fanfarlo (Pichois I 41). [details]
1852 --- On démolit les vieilles constructions de la place du Carrousel. Ce changement du milieu urbain inspirera plus tard à Baudelaire la composition du poème: Le Cygne (CatBN57 58). La maison natale de Baudelaire est vendue à la Société Hachette (Barroux 222). Date-limite de la composition des douze poèmes: A Une Mendiante rousse; Bohémiens en voyage; La Fontaine de sang; Le Guignon; Les Métamorphoses du vampire; La Mort des pauvres; La Musique; La Rançon; Le Vin des chiffonniers; Un Voyage à Cythère; A Celle qui est trop gaie (FM42 227-228). Baudelaire envoie à Achille Ricourt un texte manuscrit, L'Ivresse du chiffonnier [Le Vin du chiffonnier] (CPl I 184). Léon Noël fait une lithographie du portrait d'Aupick par Gorotwoth (CatBN57 14). Première version du poème: La Rançon, lequel contient une strophe supprimée en 1857. Le manuscrit portera la note: "Socialisme mitigé" (FM59 496). [details]
14 I 52 --- Poulet-Malassis note que Baudelaire le mène chez Daumier, quai d'Anjou (Adhémar A 44-45). [details]
7 IV 52 --- Baudelaire quitte son logement 25, rue des Marais-du-Temple (CPl I 190). Il passe chez les Olivier pour chercher la lettre de sa mère contenant l'autorisation de prendre les 1.000 francs qu'il a demandés (CPl I 190). Gautier écrit à Champfleury qu'il est allé le voir avec Baudelaire, mais qu'ils ne l'ont pas trouvé (CatCharavay78 ). [details]
25 V 52 --- Bébé, soeur de Mme Sabatier, reconnaît comme sa fille naturelle Fernande-Ernestine-Jeanne (Ziegler Carré 90) [details]
21 X 52 --- La Presse annonce que des lithographies inédites de Gavarni paraîtront prochainement dans Paris, avec textes descriptifs de littérateurs, Baudelaire compris (Starkie 58 222). [details]
5 IX 53 --- Th. Gautier rend compte dans la Presse de la traduction d'Edgar Allan Poe par Borghers [Amédée Pichot] (Starkie 58 223). [details]
II 54 --- Aupick passe dans la 2e section (réserve) du cadre de l'état-major général (Girard 283). [details]
5 VII 54 --- Ulric-Hilaire F[allet] reconnaît comme sa fille naturelle Fernande-Ernesta-Jeanne, fille illégitime de Bébé Sabatier et Fernand Boissard (Ziegler Carré 90n) [details]
23 X 54 --- Baudelaire va à midi chez Mme Trolley pour y rencontrer sa mère. Il a vu son tailleur, mais ne peut ni lui donner de l'argent, ni lui rendre ses vêtements. Il semble que Baudelaire a mis ces vêtements en gage (CPl I 294). Paul de Saint-Victor écrit dans le Pays un article élogieux sur Philibert Rouvière (AR 524). Il y fait mention de Marie Daubrun, qui joue dans Les Oiseaux de proie (CPl I 868). [details]
29 VIII 55 --- Morale du joujou paraît à nouveau dans le Portefeuille (AR 477). [details]
1856 --- La maison natale de Baudelaire est frappée d'expropriation et détruite lors du percement du boulevard Saint-Germain. Elle occupait l'angle sud de la rue des Deux-Portes et de la rue Hautefeuille (Barroux ). Jules Mirès acquiert, à 50.000 francs le mètre carré, quarante hectares de terrains en bordure de la Jolyette, qu'il revend aussitôt à ses actionnaires (De Lacretelle ). [details]
vers 1856 --- H. Daumier peint sa toile: Les Deux Buveurs, qui serait peut-être inspirée par un passage du Vin du chiffonnier ("Et sous le firmament, comme un dais suspendu,/S'enivre des splendeurs de sa propre vertu".) (Adhémar A 50, 121). [details]
12 I 56 --- Prarond rencontre C.-A. Baudelaire par hasard, à Fontainebleau. Il remarque que le demi-frère de Baudelaire lui ressemble bien qu'il soit plus grand et plus nerveux (Prarond 9). [details]
9 V 56 --- Première, à la Gaîté, des Aventures de Mandrin, mélodrame de Louis Judicis et Alphonse Arnault en cinq actes et dix tableaux (Larousse du XIXe siècle 1056 ). [details]
27 IV 57 --- Le matin, Baudelaire reçoit une lettre conciliante de Poulet-Malassis. En y répondant, il promet d'envoyer ce soir tous ses placards, soigneusement remaniés. Baudelaire compte pouvoir se mettre à préparer les Curiosités esthétiques. Il a l'intention d'y ajouter deux morceaux nouveaux: "Peintres raisonneurs;" "Excitations artificielles". Il peut voyager gratuitement en chemin de fer, ce qui facilitera sa visite à Alençon, qu'il prévoit pour dans quinze jours, la renvoyant ainsi au delà de la date prévue auparavant. Baudelaire travaille sur les trois dernières parties des Fleurs du mal ed. de 1857: La Révolte; Le Vin; La Mort. Ce soir, il compte envoyer à Poulet-Malassis la fin de la partie: Spleen et idéal. A propos du Roman de la momie, Baudelaire conseille un tirage plus fort que celui envisagé par Poulet-Malassis. Il vient de parcourir les bonnes feuilles des Cariatides, de Banville, où il dit trouver des fautes "cruelles" (CPl I 394). Le général Aupick meurt à Paris, dans son appartement 91, rue du Cherche-Midi (Girard 289). Il a 68 ans et il est grand officier de la Légion d'honneur. Le décès est déclaré par le baron de Lacrosse et par Jean-Louis Emon. Baudelaire, qui assistera aux obsèques y remarquera les manières brutales d'Emon envers lui (P-Z 340). [details]
4 VIII 57 --- A Bruxelles, l'Indépendance belge donne des détails sur la saisie et le procès à venir, et déclare que "MM Sainte-Beuve et Mérimée se sont beaucoup remués en faveur du jeune auteur poursuivi" (Charlier 139). [details]
6 VIII 57 --- Baudelaire recommande Ernest Lebloys auprès de Maxime Du Camp; Lebloys voudrait travailler pour la Revue de Paris (CPl I 419). A Bruxelles, le Télégraphe rend compte des poursuites contre Baudelaire (Charlier 139). [details]
13 VIII 57 --- Baudelaire voit ses juges, qu'il trouve "abominablement laids". Ce sont: Dupaty; Pinard; Delesvaux; De Ponton d'Amécourt; Nacquart (CPl I 421). Emile Deschamps écrit des vers où il défend Baudelaire (Sur les Fleurs du Mal--A quelques censeurs) (OP II 292). l'Etoile belge décrit les poursuites des Fleurs du mal ed. de 1857 (Charlier 139-140). [details]
20 VIII 57 --- La Sixième Chambre correctionnelle condamne Baudelaire à 300 francs d'amende, ses éditeurs à 100 francs d'amende chacun et ordonne la supression de six pièces du recueil (FM 357-358). Lors de l'audience, Ancelle se fait remarquer en entrant "de force", selon Baudelaire (CPl I 464). Emile Deschamps écrit à Baudelaire une lettre accusant réception des Articles justificatifs; il y joint ses vers sur les Fleurs du mal ed. de 1857 (Dufay B 65). A Bruxelles, Emile Deschanel prend, dans l'Indépendance belge, la défense de Baudelaire, "grand styliste et traducteur" (Charlier 140). [details]
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