Charles Baudelaire

Une Micro-Histoire by Raymond P. Poggenburg


28 VII 30 --- Publication du premier volume de vers de Gautier: Poésies (T ). Baudelaire en parlera dans son Théophile Gautier (T ). [details]

Fin X 31 --- Mise en vente d'Albertus, ou l'âme et le péché. Légende théologique, par Théophile Gautier (Lovenjoul I:30-42). Baudelaire en fera mention dans la première dédicace des Fleurs du mal ed. de 1857 et dans son Théophile Gautier (T ). [details]

17 VIII 33 --- La Bibliographie de la France enregistre la publication des Jeunes-France, romans goguenards, par Théophile Gautier. Baudelaire louera ce livre dans son Théophile Gautier (T ). [details]

28 XI 35 --- La Bibliographie de la France enregistre la publication du premier volume de l'ouvrage de Théophile Gautier: Mademoiselle de Maupin. Double amour. Baudelaire y verra un "hymne à la Beauté", dans son Théophile Gautier (T ). [details]

I 36 --- Parution du deuxième volume de Mademoiselle de Maupin, de Théophile Gautier (Jasinski 300). [details]

14 VIII 36 --- Théophile Gautier publie un article, dans la Chronique de Paris, sur les Contes d'Hoffmann (Lovenjoul 93). [details]

10 III 37 --- Dans la Presse, Gautier loue le tableau de Delacroix: La Bataille de Taillebourg, fait sur commande pour la Galerie des Batailles à Versailles. Baudelaire empruntera à cet article des phrases, en 1863, pour faire la critique de Delaroche (Hamrick 33). [details]

1838 --- Mort de Claude Ramey, membre du Conseil de famille de Baudelaire (CPl I lxxxi). Baudelaire lit les feuilletons de Gautier dans la Presse (CPl I 57). [details]

9 II 38 --- La Bibliographie de la France enregistre la publication de la Comédie de la mort, par Théophile Gautier (T ). [details]

5 VII 38 --- Dans la Presse, Théophile Gautier publie "Les Caprices de Goya", article contenant des éléments qui se retrouveront dans Les Phares. A cette époque, Baudelaire lit souvent ce journal (OCPl II 1362). [details]

17 VII 38 --- Début des compositions pour le Concours général (CPl I 716). A Aupick, Charles annonce qu'il a été sixième en discours français, quatrième en discours latin, premier en vers latins. Les classes terminées, il lit continuellement. Charles décrit pour son beau-père la visite avec son collège à Versailles. Il parle des tableaux qu'il y a vus et ne considère comme remarquables que ceux de Vernet, de Scheffer et de Delacroix. Il remarque tout spécialement Regnault. Il cite la Bataille de Taillebourg de Delacroix. Son admiration pour ce dernier est due en partie aux louanges de Gautier parues dans la Presse. Puisqu'Aupick en a déjà suggéré la possibilité, Baudelaire lui demande la permission de sortir chez M. Morin et de voir de cette manière M. Rinn chez M. Morin. Rinn a promis d'analyser longuement avec lui quelques ouvrages de littérature moderne (CPl I 57, 716). [details]

27 IX 38 --- Dans la Presse, Gautier publie un article: "La Pipe d'opium" (Hamrick 35). [details]

26 I 39 --- La Bibliographie de la France enregistre Une Larme du diable, par Théophile Gautier. Baudelaire en parlera dans son Théophile Gautier (Hamrick 35 ). [details]

2 IX 39 --- Dans le Siècle, "Variétés sur les Français peints par eux-mêmes", signé "G. de N". [Gérard de Nerval]. Il s'agit du premier article décrit par Baudelaire dans Comment on paie ses dettes.... Il l'attribue à Ourliac, tout en en prêtant l'initiative sans doute à Gautier (OCPl II 1032). [details]

5 V 40 --- En compagnie d'Eugène Piot, Théophile Gautier part pour l'Espagne. Il fera une série de poèmes [España], lesquels seront publiés dans divers journaux pendant son voyage, et recueillis en volume en 1845 dans les Poésies complètes de Théophile Gautier. Baudelaire parlera de ces poèmes dans la première dédicace des Fleurs du mal ed. de 1857 et dans son Théophile Gautier (Lovenjoul xxvi). [details]

I 41 --- Aupick refuse le commandement de l'Ecole de Saint-Cyr (Girard 279). Le Musée des familles réimprime l'article de Gautier sur les Contes d'Hoffmann; cet écrit a déjà paru le 14 VIII 36 (Hamrick 30-31). [details]

VIII 42 --- Th. Gautier publie "Francisco Goya y Lucientes" dans Le Cabinet de l'amateur et de l'antiquaire (Hamrick 39). [details]

IX 42 --- Le Cabinet de l'amateur et de l'antiquaire imprime sous une forme développée l'article de Gautier "Les Caprices de Goya". La version originale de cette étude paraît en juillet, 1838. Baudelaire la citera dans "Quelques Caricaturistes étrangers", en 1857 (OCPl II 1364). [details]

env VI 43 --- Baudelaire se présente chez Théophile Gautier pour lui remettre, de la part de deux amis absents, un volume de poésies, sans doute Vers (OC61 679). [details]

10 VII 43 --- Gautier publie son article: "Le Hachich", dans la Presse (Lovenjoul I:255). [details]

IX-X 43 --- Baudelaire s'installe à l'Hôtel Pimodan, 17, quai d'Anjou (CPl I 101). Là, il fait la connaissance de Théophile Gautier et rencontre, peut-être, Balzac et Mme Sabatier. Là habitent aussi le peintre, Fernand Boissard de Boisdenier et Roger de Beauvoir (OC61 xix). [details]

10 XII 43 --- Dans la Presse, Gautier décrit ses expériences avec le haschisch. C'est la quatrième partie de "Pochades, paradoxes et fantaisies" (Hamrick 41). [details]

28 III 44 --- Dans l'Artiste, Gautier fait la critique de La Résurrection du Christ, d'Eugène Devéria, en le comparant défavorablement à la Naissance de Henri IV, exposée en 1827. Baudelaire lira cette critique et y répondra dans son Salon de 1845 (OCPl II 1271). [details]

13 X 44 --- Baudelaire demande à Th. Gautier une critique favorable de Marie Daubrun pour son jeu dans la première lundi des Oiseaux de proie (CPl I 293). [details]

1845 --- Les revenus de Baudelaire gérés par Ancelle seront de 2400 francs (CPl I lxxiv). Daumier vient se loger au 9, quai d'Anjou, dans l'Ile Saint-Louis (CPl II 996). Poulet-Malassis contribue une introduction au Département de l'Orne archéologique et pittoresque, Laigle, J.-F. Beuzelin, 1845-1851 (Dufay C 18). Baudelaire rencontre Gautier pour la première fois (Moss 229-231). Charpentier publie le Voyage en Espagne de Th. Gautier. Le livre contient l'étude sur Goya que Baudelaire citera dans "Quelques Caricaturistes étrangers", et où l'on peut reconnaître des éléments de son poème: Les Phares (OCPl II 1362). [details]

19 III 45 --- Le Journal des théâtres publie le premier feuilleton du Salon d'Asselineau (Ziegler A 5). Dans la Presse, Gautier fait une critique défavorable du tableau: La Religion, la philosophie, les sciences et les arts éclairant l'Europe. Baudelaire défendra cette oeuvre, de Victor Robert, dans son Salon de 1845 (OCPl II 1272). [details]

24 XI 45 --- "Comment on paie ses dettes quand on a du génie" paraît dans le Corsaire-Satan. On y trouve des allusions de Baudelaire à Ourliac, à Gautier, à Nerval aussi bien qu'à Balzac. Mention y est faite de La Peau de chagrin; des Souffrances d'un inventeur [la partie III des Illusions perdues]; de Grandeur et décadence de César Birotteau. Gautier y est décrit comme n'ayant pas d'idées (OCPl II 1080). Il y a également l'annonce d'une parodie de Sappho par Arsène Houssaye, parodie de Baudelaire, Banville, Pierre Dupont et Houssaye lui-même (AB 67). [details]

22 XII 45 --- Le soir, Baudelaire assiste sans doute à la réunion du club des Hachichins, à l'Hôtel Lauzun (Ziegler E 53n). Il y serait en compagnie de Gautier, et de Balzac. Cette fantasia, organisée par le peintre Fernand Boissard, se passe sous les auspices du Docteur Moreau de Tours (Pichois H 610--612). [details]

1 II 46 --- Le Mercure des théâtres annonce que Marie Daubrun a été engagée par Hippolyte Coignard, du théâtre du Vaudeville. Elle est décrite comme "l'élève favorite" de Daudé, directeur du théâtre de Montmartre (Pichois H 613). La Revue des deux mondes publie l'article de Théophile Gautier sur le Club des Haschichins (Hamrick 49). [details]

7 IV 46 --- Dans la Presse, Théophile Gautier donne un feuilleton où il loue le peintre Vidal. Baudelaire le lit mais ne partage pas cette opinion élogieuse (CML 266). [details]

15 IV 46 --- L'Esprit public publie Conseils aux jeunes littérateurs, signés Baudelaire-Dufaÿs. Baudelaire y évoque l'exemple de Mme de Warens pour qualifier l'esprit de ses remarques. Il prétend qu'il n'y a pas de guignon et fait l'éloge de l'énergie littéraire de Paul Féval et d'Eugène Sue. Il conseille cette espèce d'énergie à ceux qui feraient une littérature plus pure que la leur. Il prétend que l'écrivain doit chercher à faire beau et à vendre ses écrits, même à des prix modestes, sans se décourager. Il distingue Jules Janin adepte de l'éreintage par la ligne courbe, de Granier de Cassagnac, partisan de la ligne droite. En matière de composition Baudelaire choisit comme modèle Eugène Delacroix, qui proscrit la nature; il rejette les procédés de Balzac et d'E. Ourliac, qui réclament trop d'énergie. Pour bien écrire, il faut un travail quotidien. La poésie occupe la place littéraire la plus haute; à preuve, le fait que certains lisent les feuilletons de Gautier uniquement parce qu'il est le poète de La Comédie de la mort (dont Baudelaire n'apprécie pourtant pas toutes les beautés). A propos du désordre financier, Baudelaire s'oppose à l'idée qu'il soit le compagnon nécessaire du génie; il cite, comme mauvais exemple, la pièce d'A. Dumas père, Kean, ou Désordre et Génie. Baudelaire suppose que Goethe n'a pas eu de créanciers et loue les efforts d'Hoffmann pour mener une vie ordonnée. Pour maîtresse, un poète doit éviter également la femme honnête, le bas-bleu et l'actrice. Seules demeurent "les filles ou les femmes-bêtes, l'amour ou le pot-au-feu" (OCPl II 1086). [details]

27 IX 46 --- Baudelaire va au théâtre des Funambules voir Pierrot valet de la mort. Parmi les spectateurs se trouvent Gautier, Nerval, Murger, Banville, Privat d'Anglemont, Pierre Dupont, Préault et Fiorentino. Auguste Vitu rend compte de cette pantomime dans l'Echo... (BJ 16). [details]

10 IV 47 --- Gautier, dans la Presse, ("L'Exposition de 1847"), fait un long et enthousiaste article sur la sculpture de Clésinger, surtout sa Femme piquée par un serpent et le buste de Mme Sabatier (non nommée). Il y trouve une beauté toute moderne (DICO 136). Mort d'Elise Sergent, la "Reine Pomaré", à l'âge de 22 ans (OCPl I 1267). [details]

22 VIII 47 --- Dans l'Artiste Théophile Gautier fait une seconde appréciation de la sculpture de Clésinger, Femme piquée par un serpent [v. 10 IV 47] (T ). [details]

28 V 48 --- Dans la Presse, Champfleury parle des journaux à un sou publiés depuis le 26 février et vendus dans les rues de Paris. Il cite le Salut public, entre autres, et révèle que les rédacteurs d'un de ces journaux (peut-être celui-ci) l'ont vendu dans les cafés (OCPl II 1555). Dans la même Presse, Th. Gautier déclare: "Mlle Daubrun est fort jolie dans le rôle de Mme de Cayla" (T ). [details]

1 IV 49 --- La Silhouette publie à nouveau le Sonnet burlesque, en l'attribuant à Théophile Gautier (T ). Baudelaire doit payer un billet à ordre de 300 francs, à Servais (CPl I 153). [details]

13 VII 49 --- Baudelaire écrit à un destinataire inconnu, pour recommander un certain Schoman, musicien, qui a dû quitter Dresde à la suite des journées révolutionnaires. Se joignant à Gautier, qui l'aura déjà recommandé, Baudelaire demande qu'on accueille ses écrits sur Tannhäuser et sur l'histoire de la musique. Baudelaire évoque la commune admiration pour Wagner que partagent avec lui le destinataire de cette lettre et Schoman (CPl I 157). [details]

24 VIII 50 --- Philarète Chasles, dans le Journal des débats, qualifie Balzac de "visionnaire" ou de "voyant". Baudelaire retiendra ces qualificatifs, qu'il utilisera dans son Théophile Gautier (OCPl II 1135). [details]

4 XII 50 --- Flaubert annonce à sa mère une invitation à dîner chez les Aupick à lui et à Maxime du Camp, à Constantinople. Du Camp, lors d'une pareille occasion, décrit pour Aupick et pour Mme Aupick une lettre qu'il a reçue il y a peu. Louis de Cormenin lui a raconté une rencontre avec Baudelaire chez Gautier. Cormenin est d'avis que Baudelaire se fera parler de lui pour ses vers, grâce à son tempérament de poète, rare à l'époque. Cette mention du nom de Baudelaire est mal reçue par Aupick, tandis que Mme Aupick prendra à part Du Camp pour l'interroger discrètement sur son fils. Un autre invité, le colonel Margadel, expliquera à Flaubert et à Du Camp les relations difficiles entre Baudelaire et Aupick, qui ne tolère même pas qu'on prononce chez lui le nom de son beau-fils (P-Z 276). [details]

1851 --- Baudelaire est présenté à Mme Sabatier par Th. Gautier (Ziegler B 375). [details]

8 IV 51 --- Dans la Presse, Théophile Gautier loue le portrait par Ricard de Mme Sabatier (OCPl II 1594) [details]

8 IV 51 --- Marie Daubrun joue le rôle de la marquise de Villiers, femme élégante et gaie, lors de la première à la Porte-Saint-Martin, de Vol à la duchesse, drame en cinq actes et huit tableaux d'Eugène Grange et Xavier de Montépin (Feuillerat A 87).Dans la Presse, Théophile Gautier fait une critique élogieuse du portrait de Mme Sabatier par Ricard. Ce portrait paraît au Salon de 1850-51 (DICO 141-142). [details]

IX 51 --- Date-limite de l'envoi du manuscrit par Baudelaire à Théophile Gautier des "Douze poèmes" (OCPl I 1069) [details]

27 XI 51 --- Baudelaire publie dans la Semaine théâtrale "Les Drames et les romans honnêtes" (T ). Il s'y moque de La Ciguë et de Gabrielle, pièces d'Emile Augier. Baudelaire trouve leur moralité "bourgeoise" assez douteuse, puisqu'elle mène plutôt au vice qu'à la vertu (qualité qui est le but de l'auteur de ces ouvrages). Baudelaire voit dans cette école une réaction contre le romantisme violent de Mademoiselle de Maupin de Gautier, ou de Kean, ou Désordre et génie, de Dumas père. Il s'élève contre l'emploi de termes religieux en des circonstances profanes, comme on en trouve chez les écrivains de cette école, ainsi que chez les "poètes abrutis par la volupté païenne". Il déplore l'esprit qui permet le succès de Jérôme Paturot..., et lui oppose les écrits de Pierre Leroux et de Proudhon. Il loue également Victor Hugo et Viollet-le-Duc et critique la réduction de l'art à la propagande. Aucune oeuvre belle ne pourra être moralement laide. Il cite l'auto-défense de Balzac, contre l'attaque d'Hippolyte Castille, dans la Semaine du mois d'octobre, 1846. Les écrits de Balzac sont taxés d'immoralité. Baudelaire trouve que les ouvrages moralisateurs de Berquin, de Montyon et d'Emile Augier rendront leurs émules vicieux et non vertueux. Il qualifie également le décret Faucher de "satanique" et déclare qu'il encouragera l'hypocrisie. Baudelaire termine son article en disant qu'il a l'intention d'analyser les tentatives de Balzac et de Diderot visant à rajeunir le théâtre (OCPl II 38, 1095). [details]

fin 51 --- Baudelaire envoie des poésies à Théophile Gautier. Parmi elles, il préfère: Les Deux Crépuscules; La Caravane [Bohémiens en voyage]; Le Reniement de saint Pierre; L'Artiste inconnu [Le Guignon]; L'Outre de la volupté [Les Métamorphoses du vampire]; La Fontaine de sang; Le Voyage à Cythère. Baudelaire a parlé avec Gérard de Nerval du sens d'Un Voyage à Cythère. Cet envoi de poésies est le second de Baudelaire à Gautier, un des directeurs de la nouvelle Revue de Paris; Baudelaire les lui soumet en vue d'une publication et lui demande de l'aider auprès de Maxime Du Camp, autre membre du comité de rédaction de cette revue. Si ces poésies sont acceptables, Baudelaire promet d'en envoyer d'autres, plus voyantes encore (CPl I 180, 803). Les revenus de Baudelaire gérés par Ancelle seront de 2400 francs (CPl I lxxiv). [details]

env 1 II 52 --- Baudelaire discute avec Champfleury et Armand Baschet la création d'un journal, dont le titre serait le Hibou philosophe (CPl I 185). Baudelaire rédige et envoie à Champfleury une note où il explique ses idées sur ce projet. Il conseille notamment des articles sur: Gautier; Sainte-Beuve; la Revue des deux mondes; Balzac auteur dramatique; "La Vie des coulisses;" "L'Esprit d'atelier;" Gustave Planche; Alexandre Dumas; Jules Janin; Eugène Sue; Paul Féval; les poèmes d'Arsène Houssaye et ceux d'Auguste Brizeux; les Lettres et mélanges de Joseph de Maistre; Le Mariage de Victorine de George Sand; La Religieuse de Toulouse de Jules Janin; la traduction d'Emerson, Essais de philosophie américaine, faite par Emile Montégut; Florian; Sedaine; Ourliac; toutes les "écoles du jour" (ce dernier article devrait être rédigé par les cinq collaborateurs collectivement. Il porterait sur Hugo, Gautier, Banville, Musset et autres). Baudelaire voit en Sébastien Mercier et Bernardin de Saint-Pierre des précurseurs de leur siècle. Les libraires susceptibles de leur être utiles sont: Furne; Houssiaux; Blanchard (Hetzel); Lecou; Michel Lévy; Giraud et Dagneau; Amyot, Charpentier, Baudry; Didier; Sandré; Hachette; Garnier; Gaume; Cadot; Souverain; Potter (OCPl II 50, 1102). Champfleury répond à Baudelaire par un "Essai de contrat et de règlement pour la rédaction du Hibou philosophe" (Crépet F 514-538). Sur une maquette du projet pour ce périodique projeté, Champfleury note le titre d'un article de Baudelaire à paraître: "De la caricature" (OCPl II 1103). [details]

7 IV 52 --- Baudelaire quitte son logement 25, rue des Marais-du-Temple (CPl I 190). Il passe chez les Olivier pour chercher la lettre de sa mère contenant l'autorisation de prendre les 1.000 francs qu'il a demandés (CPl I 190). Gautier écrit à Champfleury qu'il est allé le voir avec Baudelaire, mais qu'ils ne l'ont pas trouvé (CatCharavay78 ). [details]

6 V 52 --- Marie Mattéi écrit à Théophile Gautier une lettre où se trouverait la source d'un vers du poème: Le Vampire (OC61 1515). [details]

VII 52? --- Fragment de lettre de Baudelaire à Gautier. Baudelaire se plaint de la chaleur du temps parisien (CPl I 201). [details]

1 II 53 --- Théophile Gautier publie, dans la Revue de Paris, un poème pour Mme Sabatier: J'aime ton nom d'Apollonie... (T ). [details]


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