Dans la Revue de l'instruction publique, Arthur Arnould fait un compte rendu des Paradis artificiels et donne son opinion sur les Fleurs du mal ed. de 1857 et les traductions d'Edgar Allan Poe (T ). Dans un article de Figaro, Alphonse Daudet soutient que Baudelaire est prêt à vendre son âme au Diable. Encourent le même reproche: Gautier, About, La [danseuse] Rigolboche, Ernest Blum [vaudevilliste], [le petit] Duchesne [journaliste au Figaro] (Bornecque C 301-302).