20 I 41 --
Le soir, Baudelaire fait pour son demi-frère le compte de ses dettes. Elles se montent à 2040 francs, à savoir: son tailleur, 735 francs; frais de vêtements divers, 660 francs; Ducessois, 215 francs; L. de Gennevraye, 380 francs; Nestor Songeon, 50 francs. Baudelaire assure Claude-Alphonse de son intention d'être raisonnable et de payer ces dettes avec tout argent qu'on voudrait bien lui donner. La plus grande partie de la dette envers de la Gennevraye est due à des frais servant à "habiller une fille enlevée dans une MAISON [sic]" (CPl I 85).
-
CPl I:
Baudelaire, Charles. Correspondance: Tome I (Janvier 1832-février 1860). Texte établi, présenté et annoté par Claude Pichois avec la collaboration de Jean Ziegler. Gallimard. Paris. 1973. 313 pages. (list all entries citing CPl I).
[id: 2086; Date first digitized: 1999-08-16 Last Updated: 2020-10-13 11:43:53; xml source: 6586_1841-01-20.xml]