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13 II 53 --
Paris fait la critique du Feuilleton d'Aristophane, de la plume du comte de Villedeuil [Ch. Yriarte]. Tout en se moquant gentiment des idées poétiques de Banville, le critique admire la voix de Marie Daubrun qui chante Mon Armand me chagrine... de façon indescriptible. Il en donne toutes les paroles de la chanson, disant que c'est là à peu près la seule chose amusante qu'il y ait dans la pièce. Et il ne peut pas partager le dépit ressenti par Banville devant l'école réaliste, refusant d'abandonner Courbet (T )
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T:
Texte vu
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[id: 1032; Date first digitized: 2000-10-26 Last Updated: 2020-10-13 11:43:45; xml source: 11035_1853-02-13.xml]